Lignée d’un greffe notarial à Saint-Jovite depuis 1890
Au début de la colonisation, les gens recourent soit au notaire anglophone d’Arundel, notaire ambulant, soit au tabellion qui se déplace de Saint-Jérôme une fois par semaine pour noter les actes sans avoir fait de longues études notariales. Très tôt cependant des notaires s’installent dans la localité de Saint-Jovite.