Hockey

Une 4e édition réussie pour l’école de hockey L’Âme du Sport

Publié le 2 juillet 2015 par In Médias

Pour une 4e fois en autant d'étés, l'école de hockey L'Âme du Sport fait un malheur à l'aréna de Mont-Tremblant, où elle se déroule du 29 juin au 3 juillet.

Une 4e édition réussie pour l'école de hockey L'Âme du Sport

Pour une 4e fois en autant d’étés, l’école de hockey L’Âme du Sport fait un malheur à l’aréna de Mont-Tremblant, où elle se déroule du 29 juin au 3 juillet.

Dominique Marier, l’homme derrière cet événement, jubile, et avec raison: ce qui était une modeste initiative en 2012 s’est maintenant imposée sur les circuits dans le monde du hockey. Cette année, 60 jeunes de partout au Québec ont pris part aux cinq jours du camp spécial.

«Nous avons des participants qui viennent de Mont-Tremblant et des alentours, bien sûr, mais aussi de bien d’autres endroits: Mont-Laurier, Saint-Sauveur, Saint-Jérôme, Ottawa, Maniwaki, Senneterre en Abitibi et Trois-Rivières.»

De fait, face à la popularité de l’école de hockey et au refus d’accepter certains jeunes, faute de place, le fondateur songe même à procéder à une expansion dans d’autres lieux ou encore à rajouter une semaine supplémentaire à Mont-Tremblant. Tout cela est encore pour l’instant au stade de projet.

Deux invités de marque

Les participants à l’école sont divisés en trois groupes d’âge: 6-8 ans, 9-11 ans et 12 ans et plus. Des enseignants accrédités par Hockey Québec, des entraîneurs et des joueurs forment l’ossature du camp et se séparent la tâche pour encadrer les jeunes.

Ceux-ci progressent beaucoup, car ils sont constamment accompagnés et reçoivent de la rétroaction. «C’est bien important pour nous de ne jamais laisser un jeune à lui-même», précise Dominique Marier.

Cette année encore, deux hockeyeurs professionnels de la région, Antoine Roussel des Stars de Dallas et Jonathan Drouin du Lightning de Tampa Bay, sont venus au camp pour rencontrer les participants et y faire quelques exercices en leur compagnie.

Leur présence est très appréciée de Dominique Marier, qui dit voir une différence chez les jeunes quand ils sont là.

«Non seulement ça les motive, dit-il, mais ils apprennent beaucoup parce qu’ils partagent leur vécu.»

«Quand les jeunes voient quelle force ces gars-là ont mis pour atteindre la Ligue nationale, ça les pousse à travailler encore plus fort», conclut-il.

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