Auteur de Saint-Faustin-Lac-Carré
Une suite attendue enfin publiée
Après avoir publié en 2018 Le déclin d’une vie, Richard Migneault signe une suite avec 6e Rang Saint-Faustin-Lac-Carré.
Dans Le déclin d’une vie, M. Migneault relatait la dure vie d’une jeune fille qu’il avait eu l’occasion de rencontrer. Seulement, face à l’engouement de ses lecteurs pour connaître la suite, il a décidé de les écouter et de se lancer dans l’écriture de son troisième roman, 6e Rang Saint-Faustin-Lac-Carré.
« J’ai écrit ce roman suite aux commentaires des lecteurs et je trouvais que l’idée était bonne. Après avoir écrit Le déclin d’une vie, grâce aux notes que la jeune fille m’avait données, j’ai décidé de faire une suite, mais romancée cette fois-ci. Il fallait, là, que ça sorte de moi, que j’invente l’histoire comme elle n’existait pas », indique M. Migneault.
Dans 6e Rang Saint-Faustin-Lac-Carré, l’auteur raconte l’histoire de la fille que l’héroïne de son précédent roman a eue. A contrario de sa mère, cette jeune fille aura une vie complètement différente, moins « rock and roll ».
« Dans ce roman, j’ai tout simplement écrit l’histoire de la fille de la jeune fille du déclin d’une vie. Ce n’est pas du tout comme l’histoire de sa mère. Des lecteurs m’avaient écrit pour me dire que c’était quand même assez difficile à lire. J’ai donc décidé de faire de cette jeune fille-là, une histoire qui est vraiment romancée, fictive, plus douce avec une romance », explique l’auteur faustilacois.
Point final
Bien évidemment, avec ce titre, 6e Rang Saint-Faustin-Lac-Carré, l’auteur a souhaité faire un clin d’œil à sa ville de résidence. L’histoire se déroule d’ailleurs en partie à Saint-Faustin-Lac-Carré, mais également à Lavaltrie, où a vécu la mère de cette jeune fille.
M. Migneault avoue avoir pris son temps pour sortir ce troisième roman en raison de la pandémie. Il a d’ailleurs indiqué que 6e Rang Saint-Faustin-Lac-Carré est le point final à cette histoire et qu’il n’y aurait pas de suite, même si les lecteurs le souhaitaient.
« Je me considère plus comme un biographe. Écrire des histoires vécues, j’aime plus me lancer là-dedans. Ça me ressemble plus », conclut-il.
À noter qu’une séance de signature était prévue le 5 février prochain à la librairie Carpe Diem de Mont-Tremblant, mais en raison du contexte actuel, l’événement a été repoussé à une date ultérieure.
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