L’info relève les faits saillants des conseils d’agglomération et de ville de Mont-Tremblant du 11 mars dernier.

Conseil d’agglomération

Les conseillers ont entériné un contrat d’habillage des autobus qui a été donné de gré à gré à Images Turbo inc. Et la rémunération sera tirée du surplus non-affecté du budget. Ils ont aussi accepté une autorisation d’inclusion dans le protocole d’entente sur le partage des premiers répondants pour la municipalité de La Conception. Un montant de 500 000 $ a été offert au bureau d’information touristique à Mont-Tremblant afin de couvrir ses dépenses.

Période de questions et de commentaires

Pendant la période de questions et de commentaires, Michel Savard, un citoyen de la rue Léonard à Mont-Tremblant, est venu au micro afin de transmettre des commentaires positifs sur l’équipe de l’Écocentre local. Luc Brisebois, le maire de Mont-Tremblant, a mentionné que cet endroit et son équipe sont victimes de leur succès et qu’un agrandissement est pour bientôt.

Une question du citoyen Éric Laflèche portait sur le point 4.5 de l’ordre du jour celui des compteurs d’eau : « Si je comprends bien, cet emprunt-là va être financé par une taxe spéciale. J’aimerais savoir si la taxe spéciale s’adresse à tous les propriétaires ou seulement à ceux qui ont des compteurs d’eau? » Luc Brisebois a tout d’abord évoqué qu’il y a eu un registre pour la tenue d’un référendum et que seulement 210 personnes l’ont signé, le besoin était de 1700 personnes. Il a aussi évoqué le retrait du point de l’ordre du jour, car il fera l’objet d’autres discussions au sein des membres du conseil et avant d’aller de l’avant avec la mesure. La conseillère Billie-Jeanne Graton a parlé de retrait du règlement d’emprunt afin de réanalyser les options possibles de financement.

Pour ce qui est du court délai de 5 jours donné pour l’inscription au registre, il était conforme à la procédure, mais il y a des discussions afin de bonifier le processus de publication sur Facebook et sur le site web ainsi que par d’autres véhicules de communication. De plus, la démarche sera chiffrée et toutes les étapes du processus, vulgarisées.

Un commentaire à propos des changements de zonage à la pièce de la part d’Éric Laflèche, un citoyen, a amené la conseillère Billie-Jeanne Graton à ajouter que la mise à jour de la cartographie et du plan d’urbanisme qui sont en cours en ce moment, font partie de la refonte des règlements d’urbanisme afin de rendre le processus plus accessible.

Une question a été posée sur les intentions du conseil à propos des compteurs d’eau et le fait que celles-ci devaient être connues à l’avance. Le maire a précisé que le devancement du processus de modernisation s’explique par la découverte de fuites dans certains systèmes de canalisations. De son côté, la conseillère Dominique Laverdure a évoqué le changement d’équipe et de perception au niveau de l’urgence de la situation pour expliquer le changement de procédure.

Implantation du pôle santé

Dans les prochaines semaines, à la fin mars, une séance extraordinaire sera organisée afin de donner l’avis de motion et de déposer le projet de règlement qui décrètera la dépense d’environ 3,7M$ et un emprunt d’environ 2,7M$ pour le prolongement du réseau d’égouts sanitaires et d’aqueduc sur la rue Léonard jusqu’au pôle santé. Le règlement sera adopté à la séance ordinaire du 8 avril prochain. Comme il s’agit d’un emprunt à l’ensemble du territoire et d’un objet étant de nature d’aqueduc et d’égouts,il n’y aura pas de registre tel que le prévoit la Loi sur les cités et villes.

Environnement

Pour le contrôle biologique des insectes piqueurs, une résolution a été entérinée afin d’octroyer le contrat à GDG environnement. Un certificat d’autorisation sera demandé au ministère de l’Environnement, de la lutte aux changements climatiques, de la faune et des parcs.

Le firme Rivière a obtenu un contrat de bilan sédimentaire d’un cours d’eau se déversant dans le lac Maskinongé à cause d’une grande accumulation de sédiments agricoles qui pourrait entraver la survie du milieu à cause de la concentration possible de phosphore. À ce contrat s’ajoute celui de la rédaction d’une demande de financement dans le cadre du volet 1 du Programme de restauration des milieux humides et hydriques.

Par ailleurs, la Sûreté du Québec était présente sur les lieux lors cette séance de conseil.

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