À quelques mois de l’ouverture du Sentier des Cimes

  • Publié le 7 mai 2022 (Mis à jour le 12 avr. 2025)
  • Lecture < 1 minute

L’ouverture des Sentier des Cimes, situé à Mont-Blanc, est toujours prévue vers la fin juin début juillet. Ça avance super bien, mentionne la directrice des communications, Kathy Poulin.

« Comme tout le monde, on est impacté(sic) par les retards de livraisons. Il faut constamment s’ajuster, refaire les plans. Jusqu’à présent, on respecte les échéanciers », dit-elle.

Le Sentier des Cimes permettra aux usagers de parcourir un sentier de 1250 mètres avec une tour d’environ 40 mètres de hauteur, qui offrira une vue unique de 360 degrés sur le paysage environnant et les montagnes des Laurentides. L’attraction comptera par ailleurs des stations éducatives, quelques modules à sensations fortes pour les plus téméraires, un restaurant, un magasin et, bien sûr, le site historique de la pisciculture.

Les nouveaux utilisateurs bénéficieront aussi d’un nouveau stationnement. Avec ceux existants, on pourra accueillir en simultané jusqu’à 300 voitures. Le potentiel annuel de visiteurs pour cette attraction touristique est estimé à 300 000.

Il y a quelques semaines, la MRC des Laurentides rappelait la fermeture du site de l’ancienne pisciculture, qui accueillera le Sentier des Cimes et ce, pour toute la durée des travaux. Comme pour tout chantier de grande envergure, l’interdiction d’accès vise à éviter tout risque d’incidents, expliquaient-ils.

Articles les plus consultés

Photo Medialo-Archives
Actualités

Mont-Tremblant: l’aide du public demandée pour identifier une personne décédée

La SQ demande l’aide de la population afin d’identifier le corps d’une personne retrouvée dans le parc national du Mont-Tremblant.
Photo: gracieuseté
Actualités

Faire du bénévolat tout en skiant

Les bénévoles d’Info-Ski Mont Tremblant font bien plus que dévaler les pentes.
Photo: Médialo - Patrice Francoeur
Actualités
Éducation

Spectre de l’autisme en milieu scolaire, un casse-tête insoluble?

Regroupement de classes, pénurie de personnel spécialisé, manque de prévisibilité pour les élèves, ce ne sont que quelques enjeux auxquels les enfants vivant avec le spectre de l’autisme (et leurs parents) sont confrontés dans les écoles de la région.