Il ne manque pas d’enseignants dans les écoles de la région

Publié le 31 août 2022 (Mis à jour le 12 avr. 2025)
Lecture : 2 minutes

Alex Proteau

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Bonne nouvelle pour les élèves de la région: tous les postes réguliers d’enseignants sont pourvus au Centre de services scolaire des Laurentides (CSSL). D’autres postes étaient toutefois toujours vacants à l’aube du retour en classe.
En date du lundi 22 août, quatorze postes d’enseignants suppléants étaient toujours disponibles, indique le directeur général du CSSL, Sébastien Tardif.

Quant au personnel de soutien, qui regroupe les employés des secteurs de l’Adaptation scolaire, du Soutien général et du Service de garde, 17 postes réguliers étaient à ce jour vacants.

« Les directions d’établissement continuent de faire des appels personnalisés afin de combler tous les postes d’ici la rentrée scolaire. Nous sommes confiants d’y arriver, comme chaque année », explique la coordonnatrice du service du secrétariat général et des communications, Stéphanie Fournelle-Maurice.

Selon elle, le service des ressources humaines procède à l’affichage des postes de façon rigoureuse. « Nous sommes également en train de travailler à l’activation de la page Facebook du CSSL, qui facilitera sans contredit la diffusion de nos offres d’emploi dans le réseau », indique-t-elle.

Dans la province, la situation est différente: comme indiqué par le ministère de l’Éducation au début du mois d’août, il manquerait près de 700 enseignants. Les directions d’écoles, elles, avancent dans différents médias qu’il en manquerait le double.

« Quand on se compare, on se console. Lorsque je parle avec des collègues partout dans la province, honnêtement, on est dans une situation très avantageuse.»

-Sébastien Tardif

Le directeur général considère toutefois qu’il faut continuer à trouver des éléments permettant la rétention.

Le territoire du CSSL couvre la MRC des Laurentides ainsi que certaines écoles de la MRC des Pays-d’en-Haut.

Transport scolaire

Concernant le transport scolaire, le CSSL n’est pas en année de négociation. « On est en communication avec nos transporteurs, mais nous n’anticipons pas de bris de service », indique M. Tardif.

Selon les données du CSSL, l’an dernier, les trajets annulés en raison d’absences de chauffeurs représentent 0,001% de tous leurs trajets.

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