Les honneurs pour l’équipe féminine aux Mondiaux de rafting à 4

Publié le 27 juin 2022 par Isabelle Houle

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Isabelle Houle

Rédactrice en chef | L'info du Nord Sainte-Agathe & Mont-Tremblant | ihoule@medialo.ca

Une équipe féminine de rafting, dont fait partie une résidente de Labelle Annick Laviolette, s’est rendue récemment en Bosnie pour participer aux Championnats Mondiaux de Rafting à 4, l'événement de rafting le plus important du monde. 65 équipes de 22 pays étaient présentes pour l’occasion.

L’équipe canadienne de rafting a décroché une 2e place en sprint. On reconnaît : Marilou Henrard, Diana Tavena, Annick Laviolette, Karine Prud’homme et Karine Coriveau. (Photo gracieuseté)

Annick Laviolette fait de la compétition de rafting depuis 2000. « Juste avant la pandémie en 2019 mon équipe, l’équipe féminine de rafting Kariboo a obtenu la première position master au championnat canadien de rafting. Cette compétition s’est déroulée sur la Rivière des Outaouais dans la région de Renfrew en Ontario, ce qui nous donnait la possibilité de participer aux Mondiaux de Chine en 2020 », raconte-t-elle.

Les championnats ont été reportés et ensuite annulés dû à la pandémie.  La Bosnie est donc devenue l’hôtesse des Championnats Mondiaux de Rafting à 4 pour l’année 2022. « Nous avions une équipe très expérimentée, j’ai déjà participé aux Mondiaux de rafting avec la co-équipière Karine Coriveau au Brésil et j’ai déjà gagné les Pan-Américain avec Marilou Henrard mon autre co-équipière. Diana Tavena avait déjà participé deux fois à des mondiaux et Karine Prudhomme notre recrue a fait les Canadiens avec nous en 2019. »

Ainsi, les filles ont obtenu l’argent en sprint, courte distance chronométrée, la médaille de bronze en Head to Head courte distance, mais départ à deux bateaux et l’argent en downriver, longue distance. Elles ont également décroché une quatrième place en slalom. « Les épreuves nous permettent de cumuler des points et ainsi d’arriver à un classement final.  Nous étions 4e. Très très serrée comme course, nous n’avions que 3 secondes de différence avec la première place en sprint et 6 secondes de différence en downriver sur une course de plus d’une heure », conclut Annick Laviolette.

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