Du plein air pour les Québécois cet hiver
Les centres de glisse et de plein air pourront ouvrir partout au Québec durant la saison hivernale. Ils ont reçu le feu vert de la Direction générale de la santé publique. Les motoneigistes auront pour leur part accès aux relais et aux refuges faisant partie du grand réseau québécois de sentiers de motoneige.
La ministre du Tourisme Caroline Proulx ne cachait pas son bonheur d’annoncer une aussi bonne nouvelle, le 6 novembre.
« Nos partenaires ont travaillé fort, en collaboration avec la Direction générale de la santé publique, afin d’élaborer des mesures qui permettront aux gens de fréquenter leurs installations en toute sécurité, et je les en félicite. Avec les stations de ski qui seront également ouvertes, nous aurons une belle offre d’activités touristiques pour tirer le maximum de plaisir d’un hiver au Québec! »
Des mesures sanitaires strictes devront cependant être respectées. Du côté des centres de glisse, il faudra contrôler l’achalandage, mettre en place de zones distinctes pour la prise et la remise des chambres à air et désinfecter celles-ci régulièrement.
Les centres de plein air offrant des activités telles que le ski de fond, la raquette et la randonnée hivernale pourront eux aussi opérer en mettant en place des mesures sanitaires. Notamment, les refuges de ski de fond pourront être accessibles, peu importe le palier d’alerte de la région, mais avec un contrôle de l’achalandage et une fréquence de nettoyage et de désinfection augmentée et ajustée en fonction de la fréquentation. Ces orientations seront les mêmes pour les refuges de motoneige.
Les centres de glisse et de plein air, tout comme les relais de motoneige, devront également mettre en place des mesures sanitaires élaborées pour les stations de ski (accessibilité au chalet et aux services selon les paliers d’alerte des régions, port du couvre-visage de type cache-cou lors de la pratique de l’activité extérieure, distanciation dans les files d’attente, etc.) et celles pour le tourisme d’aventure et les parcs régionaux.
En zone rouge, il pourra être possible de manger son lunch à l’intérieur d’un refuge, selon les règles en vigueur sur le site. Notons enfin que, s’ils ne sont pas interdits, les déplacements interrégionaux demeurent non recommandés.
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