Ça se construit à Mont-Tremblant
Si on se fie à la dernière séance du conseil municipal de Mont-Tremblant, les beaux jours de la construction semblent être revenus pour la Ville.
Si on se fie à la dernière séance du conseil municipal de Mont-Tremblant, les beaux jours de la construction semblent être revenus pour la Ville.
Plusieurs chantiers semblent en effet prendre leur envol un peu partout en ville. Tout d’abord, une dérogation mineure a été accordée partiellement à un promoteur qui souhaite construire un édifice qui comportera 124 logements. Ce bâtiment fera quatre étages et sera construit dans la côte sur la rue de Saint-Jovite, en arrière de la bâtisse où la SAQ s’était relogée temporairement. Il fera face à l’ancien hôtel Malo.
Le terrain où la construction doit avoir lieu est présentement un boisé. Le permis de construction n’a pas encore été émis, si bien qu’il n’est pas encore possible de savoir quand le chantier aura lieu.
Des égouts
Autre chantier important annoncé au conseil, la Ville a annoncé la mise en place d’un réseau d’égout séparatif pour les rues Labelle, Bisson, Saint-Georges et du Cap. Comme l’explique le maire Luc Brisebois, «sur ces rues, l’égout pluvial et l’égout sanitaire marchent ensemble. Ça semble un non-sens aujourd’hui que l’eau de pluie aille se contaminer et qu’elle soit traitée comme des eaux usées.»
Le contrat afin que cette séparation entre les égouts se concrétise a été octroyé à l’entreprise Construction T.R.B. Une date pour lancer le chantier a déjà été retenue: le 14 août. Les travaux sont évalués à 1,14 million de dollars. Il ne manque que l’approbation du ministère des Affaires municipales pour procéder.
D’autres chantiers en vue
L’hôtel Spa Scandinave s’est également vu autorisé, au dernier conseil, à s’agrandir. Un nouveau bâtiment sera donc construit sur son terrain, sur la montée Ryan.
Une requête a de plus été déposée par l’entreprise Gestion Flac SENC pour la réalisation de travaux municipaux. Le but de cette requête est de prolonger le chemin du Domaine-Millette, à la limite de la Ville avec la municipalité de Lac-Supérieur.
Enfin, la place publique devrait finalement voir le jour en plein centre-ville au printemps 2018. Bien que l’échéancier de départ visait 2017, le départ du commerce Rachelle-Béry de la bâtisse qu’il occupe a nécessité un réajustement. C’est que le commerce fermera le 31 octobre, et que la démolition du bâtiment ne pourrait donc avoir lieu qu’après cette date.
«Comme faire des travaux l’hiver n’est pas l’idéal, le promoteur compte démolir la bâtisse à l’automne, mais attendre au printemps pour creuser et lancer le chantier de construction», a expliqué le maire à l’assistance.
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