Les Tremblantois semblent adopter leur complexe aquatique
Le complexe aquatique de Mont-Tremblant a connu son meilleur achalandage à vie le 28 décembre dernier. Pas moins de 347 baigneurs ont franchi les portes d'entrée.
Cette journée record a couronné un premier quatre mois d’opération fructueux, soutient chiffres à l’appui la directrice des communications de la Ville de Mont-Tremblant, France Léonard.
Le complexe a enregistré 13 779 entrées pour le bain libre à la piscine et au bassin récréatif ainsi que les divers cours.
Les entrées ont augmenté de mois en mois. Il y en a eu 2285 en septembre, le moins bon mois et 4186 pour le meilleur mois en décembre. Le total pour les mois d’octobre et novembre a été de 2912 et 3558 respectivement.
Les divers cours offerts à la piscine ont par ailleurs généré 989 inscriptions. Il y avait aussi 240 inscrits à la salle d’entraînement.
De plus, le Club de nage synchronisée Neptune Synchro et le club de natation Nat-Action ont élu domicile au complexe
De l’avis du gérant chez SODEM (la firme privée qui assure la gestion des opérations) Sébastien Messier il est difficile d’établir des comparaisons avec d’autres établissements du même type. L’échantillon est court d’une part et chaque complexe est différent dans sa conception et son offre de services.
À la Ville de Mont-Tremblant, on estime que le complexe aquatique comble les attentes.
«Notre complexe est très populaire. La fréquentation va beaucoup selon la météo. On remarque aussi que les Tremblantois en ont fait une activité familiale comme c’était souhaité», indique Mme Léonard.
Les utilisateurs sont impressionnés par la qualité des installations, soutient-elle.
On s’attend à une légère baisse de fréquentation dans les prochains mois d’hiver. SODEM qui gère les opérations de plusieurs centres du même type indique que cette situation est constante partout, puisque les gens sortent moins en hiver.
La majorité des utilisateurs sont de Mont-Tremblant. Par contre, on en dénombre à peu près le quart qui proviennent de l’extérieur.
Pour sa part, le maire Luc Brisebois soutient que les données sur l’achalandage démontrent que la Ville a fait un bon choix en optant pour ce genre d’installation de loisirs «qui dessert toute la famille».
Il a également louangé le gestionnaire des opérations privé, SODEM. La Ville ne possédait aucune expertise dans l’opération d’une piscine, a-t-il rappelé.
Le superviseur Sébastien Messier a pour sa part travaillé au bassin olympique, a souligné le maire.
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